Gustav Mahler
Symphonie n° 7
Mahler. Symphonie n°7. Royal Concertgebouw Orchestra. Mariss Jansons. CD RCO.
Voilà un nouvel enregistrement de la composite Septième Symphonie de Mahler, la réunion du remarquable R. C. O. et du non moins remarquable M. Jansons est assurément un gage de qualité.
Le tissu orchestral est souple, chatoyant comme une riche étoffe aux multiples couleurs. L’excellent M. Jansons traite cette vaste fresque avec toute l’emphase et le sens de la grandeur requis. La Septième Symphonie apparaît alors comme un large poème symphonique aux accents de marche épique dans le premier mouvement. Les deux illustres «Musiques de nuit», moments apaisés, lumineux teintés de lyrisme, encadrent un Sherzo grinçant. Quant au dernier mouvement qui est quasiment une œuvre en soi, les troupes du R. C. O. l’aborde avec puissance et fougue, M. Jansons en accentuant le caractère grandiose même si celui-ci confine au pompeux.
Une fort belle lecture placée sous le signe de la grandeur et du luxe des interprètes.
Marc Laborde
Voilà un nouvel enregistrement de la composite Septième Symphonie de Mahler, la réunion du remarquable R. C. O. et du non moins remarquable M. Jansons est assurément un gage de qualité.
Le tissu orchestral est souple, chatoyant comme une riche étoffe aux multiples couleurs. L’excellent M. Jansons traite cette vaste fresque avec toute l’emphase et le sens de la grandeur requis. La Septième Symphonie apparaît alors comme un large poème symphonique aux accents de marche épique dans le premier mouvement. Les deux illustres «Musiques de nuit», moments apaisés, lumineux teintés de lyrisme, encadrent un Sherzo grinçant. Quant au dernier mouvement qui est quasiment une œuvre en soi, les troupes du R. C. O. l’aborde avec puissance et fougue, M. Jansons en accentuant le caractère grandiose même si celui-ci confine au pompeux.
Une fort belle lecture placée sous le signe de la grandeur et du luxe des interprètes.
Marc Laborde
Publié le 22/03/2018 à 20:15, mis à jour le 12/05/2019 à 21:33.