Royal Concertgebow, Amsterdam
> 21 octobre
Un orchestre au sommet !
Photographies par Leander Lammertink et Pablo Faccinetto
L’arrivée de Daniele Gatti à la tête du très prestigieux Concertgebow avait fait couler beaucoup d’encre. Il a démontré pour le début de sa première réelle saison combien était réelle sa maîtrise de cette phalange.
Dédiée à Wagner, la première partie est consacrée aux pages orchestrales du Crépuscule des Dieux. La mort de Siegfried et la Marche funèbre sont interprétées avec une concentration et une fougue qui confinent au sublime. Daniele Gatti saisit cette musique majeure à bras le son, laissant les auditeurs médusés, sous le choc.
Plus lyrique, l’Adagio de Malher ouvre la seconde partie, suivi par les Trois pièces d’orchestre de Berg. L’orchestre donne là toute sa puissance et démontre dans ces pièces à l’orchestration redoutable tout son savoir faire. Tous les pupitres sont à l’honneur, démontrant leur vitalité non sans une pointe d’humour parfois, notamment dans la Marche finale.
Le public réserve une ovation à son chef et à son orchestre, vraiment au sommet!
Marc Laborde
Dédiée à Wagner, la première partie est consacrée aux pages orchestrales du Crépuscule des Dieux. La mort de Siegfried et la Marche funèbre sont interprétées avec une concentration et une fougue qui confinent au sublime. Daniele Gatti saisit cette musique majeure à bras le son, laissant les auditeurs médusés, sous le choc.
Plus lyrique, l’Adagio de Malher ouvre la seconde partie, suivi par les Trois pièces d’orchestre de Berg. L’orchestre donne là toute sa puissance et démontre dans ces pièces à l’orchestration redoutable tout son savoir faire. Tous les pupitres sont à l’honneur, démontrant leur vitalité non sans une pointe d’humour parfois, notamment dans la Marche finale.
Le public réserve une ovation à son chef et à son orchestre, vraiment au sommet!
Marc Laborde
Publié le 25/10/2016 à 20:34, mis à jour le 26/01/2019 à 19:35.