Vilde Frang
MOZART
W. A. Mozart: Concertos pour violon n°1 KV 207 et n°5 KV 219, Symphonie concertante pour violon, alto et orchestre KV 364; Vilde Frang (violon), Maxim Rysanov (alto), Arcangelo, Jonathan Cohen; CD Warner Classics
La jeune et déjà célèbre violoniste norvégienne Vilde Frang se joint ici, dans cet enregistrement, à la phalange anglaise Arcangelo, qui joue sur instruments anciens, et à son chef Jonathan Cohen pour nous donner trois œuvres concertantes du génial Mozart: les concertos pour violon n°1 et n°5 et la symphonie concertante pour violon et alto.
Allégeant la pâte orchestrale, mais offrant à sa soliste un soutien vivant et coloré et parfois presque trop empressé, Jonathan Cohen et son orchestre permettent à cette dernière d’exprimer pleinement, avec un naturel confondant, un jeu aussi scintillant que sensuel pour magnifier ces pages au charme surnaturel. Dans la symphonie concertante, l’altiste Maxim Rysanov est le partenaire idéal pour épouser le chant voluptueux de cette artiste rare. Ainsi, c’est à un mariage réussi auquel nous assistons, où à la brillance des solistes répond l’implication de l’orchestre et la compréhension de son chef, tous familiers de cette divine musique.
Jean-Félix Marquette
La jeune et déjà célèbre violoniste norvégienne Vilde Frang se joint ici, dans cet enregistrement, à la phalange anglaise Arcangelo, qui joue sur instruments anciens, et à son chef Jonathan Cohen pour nous donner trois œuvres concertantes du génial Mozart: les concertos pour violon n°1 et n°5 et la symphonie concertante pour violon et alto.
Allégeant la pâte orchestrale, mais offrant à sa soliste un soutien vivant et coloré et parfois presque trop empressé, Jonathan Cohen et son orchestre permettent à cette dernière d’exprimer pleinement, avec un naturel confondant, un jeu aussi scintillant que sensuel pour magnifier ces pages au charme surnaturel. Dans la symphonie concertante, l’altiste Maxim Rysanov est le partenaire idéal pour épouser le chant voluptueux de cette artiste rare. Ainsi, c’est à un mariage réussi auquel nous assistons, où à la brillance des solistes répond l’implication de l’orchestre et la compréhension de son chef, tous familiers de cette divine musique.
Jean-Félix Marquette
Publié le 08/04/2015 à 19:57, mis à jour le 26/01/2019 à 19:35.
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