Sveltlana Andreeva, piano
Schittenhelm, Debussy
Air piano concerto. Royal Scottish National Orchestra, Sergey Neller, direction. CD Sfumato records.
Christian Schittenhelm, compositeur français contemporain, auteur de comédies musicales, de poèmes symphoniques, de pièces pour piano et de quatre concertos pour piano nous présente ici son quatrième concerto pour piano et un de ses poèmes symphoniques titré «Dawn».
C’est la pianiste ukrainienne Sveltlana Andreeva, qui a déjà enregistré ses œuvres pour piano seul, qui est la soliste de cet enregistrement accompagnée par le Royal Scottish National Orchestra aux mains de son mari Sergey Neller.
Ce concerto sous-titrée «Air», en trois mouvements selon le modèle classique, expose une musique néotonale, élégante et légère, au néo-classicisme de bon aloi n’oubliant ni le post-romantisme d’un Rachmaninov, ni l’impressionnisme d’un Debussy.
Sans aspérité et agréable à écouter, presque dansant, le piano de Sveltlana Andreeva s’y montre un maître de ballet impérial, parfaitement soutenu par l’accompagnement orchestral.
Le poème symphonique «Dawn», à l’esthétique debussyenne est la parfaite introduction au Prélude à l’après-midi d’un faune de Claude Debussy qui clôt l’album. Là la lecture de Sergey Neller s’y dissipe dans un vaporeux mystère à l’atmosphère diaphane sinon envoûtante.
Jean-Félix Marquette
Christian Schittenhelm, compositeur français contemporain, auteur de comédies musicales, de poèmes symphoniques, de pièces pour piano et de quatre concertos pour piano nous présente ici son quatrième concerto pour piano et un de ses poèmes symphoniques titré «Dawn».
C’est la pianiste ukrainienne Sveltlana Andreeva, qui a déjà enregistré ses œuvres pour piano seul, qui est la soliste de cet enregistrement accompagnée par le Royal Scottish National Orchestra aux mains de son mari Sergey Neller.
Ce concerto sous-titrée «Air», en trois mouvements selon le modèle classique, expose une musique néotonale, élégante et légère, au néo-classicisme de bon aloi n’oubliant ni le post-romantisme d’un Rachmaninov, ni l’impressionnisme d’un Debussy.
Sans aspérité et agréable à écouter, presque dansant, le piano de Sveltlana Andreeva s’y montre un maître de ballet impérial, parfaitement soutenu par l’accompagnement orchestral.
Le poème symphonique «Dawn», à l’esthétique debussyenne est la parfaite introduction au Prélude à l’après-midi d’un faune de Claude Debussy qui clôt l’album. Là la lecture de Sergey Neller s’y dissipe dans un vaporeux mystère à l’atmosphère diaphane sinon envoûtante.
Jean-Félix Marquette
Publié le 07/10/2024 à 19:27, mis à jour le 07/10/2024 à 19:28.