Rachel Kolly et Christian Chamorel
Brahms, Sonates pour violon
CD Indésens Calliope.
Une version qui parie sur l’élégance et la retenue. Une atmosphère très douce, un archet jamais pesant, telles sont les sentiments à l’écoute de cette version. Le pianiste opte également pour cette pudeur, cette discrétion. Au moins nos deux artistes sont sur la même longueur d’onde, contrairement à d’autres versions (Perlman Barenboim s’opposant diamétralement dans leur approche) ici piano et violon se complètent avec un grand raffinement.
Richesse des timbres, pureté des lignes, nous sommes dans un Brahms idéal qui certes ne plaira pas à tout le monde, dont certains pourront juger trop sur la réserve mais on ressent tout au long de ce disque la même vision de nos deux interprètes, celle de servir cette musique en respectant la partition avec beaucoup d’élégance.
Prise de son un peu lointaine.
Michel Pertile
Une version qui parie sur l’élégance et la retenue. Une atmosphère très douce, un archet jamais pesant, telles sont les sentiments à l’écoute de cette version. Le pianiste opte également pour cette pudeur, cette discrétion. Au moins nos deux artistes sont sur la même longueur d’onde, contrairement à d’autres versions (Perlman Barenboim s’opposant diamétralement dans leur approche) ici piano et violon se complètent avec un grand raffinement.
Richesse des timbres, pureté des lignes, nous sommes dans un Brahms idéal qui certes ne plaira pas à tout le monde, dont certains pourront juger trop sur la réserve mais on ressent tout au long de ce disque la même vision de nos deux interprètes, celle de servir cette musique en respectant la partition avec beaucoup d’élégance.
Prise de son un peu lointaine.
Michel Pertile
Publié le 25/06/2024 à 20:19, mis à jour le 25/06/2024 à 20:21.