Mozart Symphonies
Symphonies 29 & 40, Concerto pour hautbois
Il pomo d’oro, Maxim Emelyanychev, Ivan Podyomov. CD Aparté.
Cet enregistrement est un pur bonheur et s’impose par une lecture absolument mozartienne des œuvres ici interprétées.
Deux symphonies, la 29 allie à la fois rigueur et dramatisme, l’orchestre est dense et puissant, ce Mozart là est débarrassé de toute mièvrerie. Il pomo d’oro sait être léger, mais aussi évocateur, avec une mention toute particulière pour les cors! L’illustre Symphonie 40 devient grâce à nos artistes une course poursuite vers l’abîme: fougue, dynamisme, puissance, toute la passion du divin Mozart est là. Quant au sublime Andante, il est parcouru par un sentiment d’éternité.
Maxim Emelyanychev et son orchestre réalisent un travail d’orfèvre au service de pages immortelles.
Le Concerto pour hautbois est tout aussi brillant. Ivan Podyomov est un soliste virtuose et l’art du dialogue si important dans les concertos de Mozart est ici totalement maîtrisé, notamment par une interprétation d’une grande vivacité. L’Adagio est un sommet de l’écriture mozartienne, tout comme le pétillant Rondo final devient une manière de badinage de la joie de vivre.
Un enregistrement magistral et un livret remarquable de précision et de clarté.
Marc Laborde
Cet enregistrement est un pur bonheur et s’impose par une lecture absolument mozartienne des œuvres ici interprétées.
Deux symphonies, la 29 allie à la fois rigueur et dramatisme, l’orchestre est dense et puissant, ce Mozart là est débarrassé de toute mièvrerie. Il pomo d’oro sait être léger, mais aussi évocateur, avec une mention toute particulière pour les cors! L’illustre Symphonie 40 devient grâce à nos artistes une course poursuite vers l’abîme: fougue, dynamisme, puissance, toute la passion du divin Mozart est là. Quant au sublime Andante, il est parcouru par un sentiment d’éternité.
Maxim Emelyanychev et son orchestre réalisent un travail d’orfèvre au service de pages immortelles.
Le Concerto pour hautbois est tout aussi brillant. Ivan Podyomov est un soliste virtuose et l’art du dialogue si important dans les concertos de Mozart est ici totalement maîtrisé, notamment par une interprétation d’une grande vivacité. L’Adagio est un sommet de l’écriture mozartienne, tout comme le pétillant Rondo final devient une manière de badinage de la joie de vivre.
Un enregistrement magistral et un livret remarquable de précision et de clarté.
Marc Laborde
Publié le 22/01/2024 à 17:33.