Elizabeth Sombart
Concertos pour piano de Mozart
Concertos pour piano 20, 21, 23 & 27. Elizabeth Sombart, piano, Royal Philharmonic Orchestra, Pierre Vallet, direction. Album de deux CD Rubicon.
Nous pourrions dire: encore un enregistrement des illustres concertos pour piano de Mozart… Sauf que celui-ci est vraiment magistral!
Elizabeth Sombart y fait preuve d’une vivacité d’interprétation très mozartienne, ses lectures trés élégantes nous livrent une vision lumineuse de ces partitions majeures. Son jeu, d’une intense profondeur, d’une grande rigueur illumine ces œuvres qui sont aussi celles d’une certaine joie de vivre, d’une certaine idée du bonheur.
Le Royal Philharmonic Orchestra ouvre le Concerto n°20 avec une vision très dramatique, véritable mise en abîme que vient interrompre le soliste. Le final est une vraie course poursuite d’une effrayante virtuosité qui sait aussi garder sa part de mystère. Dans le Concerto n°21, l’orchestre déploie une remarquable et belle emphase, l’art de la conversation mozartienne est poussé à son sommet, sans oublier une magnifique cadence.
Le Concerto n°23 est celui de l’infinie douceur de vivre, celle exquise du XVIIIe siècle des Lumières. Le Concerto n°27 est un chef d’œuvre de pure musique avec un sentiment tout à la fois d’une infinie grandeur mais aussi d’un réel détachement, nous sommes en 1791…
Un enregistrement remarquable!
Marc Laborde
Nous pourrions dire: encore un enregistrement des illustres concertos pour piano de Mozart… Sauf que celui-ci est vraiment magistral!
Elizabeth Sombart y fait preuve d’une vivacité d’interprétation très mozartienne, ses lectures trés élégantes nous livrent une vision lumineuse de ces partitions majeures. Son jeu, d’une intense profondeur, d’une grande rigueur illumine ces œuvres qui sont aussi celles d’une certaine joie de vivre, d’une certaine idée du bonheur.
Le Royal Philharmonic Orchestra ouvre le Concerto n°20 avec une vision très dramatique, véritable mise en abîme que vient interrompre le soliste. Le final est une vraie course poursuite d’une effrayante virtuosité qui sait aussi garder sa part de mystère. Dans le Concerto n°21, l’orchestre déploie une remarquable et belle emphase, l’art de la conversation mozartienne est poussé à son sommet, sans oublier une magnifique cadence.
Le Concerto n°23 est celui de l’infinie douceur de vivre, celle exquise du XVIIIe siècle des Lumières. Le Concerto n°27 est un chef d’œuvre de pure musique avec un sentiment tout à la fois d’une infinie grandeur mais aussi d’un réel détachement, nous sommes en 1791…
Un enregistrement remarquable!
Marc Laborde
Publié le 09/10/2023 à 20:07.