Halle aux grains
> 31 mai
Larmes glorieuses
Orchestre National du Capitole de Toulouse
Jukka-Pekka Saraste, direction
Susanne Bernhard, soprano
Aude Extremo, mezzo-soprano
Airam Hernandez, ténor
Adam Palka, basse
Orfeon Donostiarra
José Antonio Sainz Alfaro, chef de chœur
Spectaculaire en diable, la Messa da requiem de Giuseppe Verdi a tout pour attirer les foules.
Et quand, comme ce soir Jukka-Pekka Saraste, on dispose d’un chœur à la plasticité idéale, d’un orchestre affichant plénitude et virtuosité et d’un quatuor de solistes irréprochables, on obtient cette grande fresque fervente à l’opulence opératique.
Excessivement bien préparé par José Antonio Sainz Alfaro l’Orfeon Donostiarra participe grandement à la dimension spirituelle de l’œuvre.
Irréprochable donc, le quatuor, où se détachent le subtil Airam Hernandez et Adam Palka à la voix d’airain, assure également le succès de l’entreprise.
Jukka-Pekka Saraste soigne le fini instrumental de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse et en déchaîne lors du Dies Iræ les terrifiants déferlements obtenant, au final, une vision de la Mort en habit d’apparat.
Jean-Félix Marquette
Susanne Bernhard, soprano
Aude Extremo, mezzo-soprano
Airam Hernandez, ténor
Adam Palka, basse
Orfeon Donostiarra
José Antonio Sainz Alfaro, chef de chœur
Spectaculaire en diable, la Messa da requiem de Giuseppe Verdi a tout pour attirer les foules.
Et quand, comme ce soir Jukka-Pekka Saraste, on dispose d’un chœur à la plasticité idéale, d’un orchestre affichant plénitude et virtuosité et d’un quatuor de solistes irréprochables, on obtient cette grande fresque fervente à l’opulence opératique.
Excessivement bien préparé par José Antonio Sainz Alfaro l’Orfeon Donostiarra participe grandement à la dimension spirituelle de l’œuvre.
Irréprochable donc, le quatuor, où se détachent le subtil Airam Hernandez et Adam Palka à la voix d’airain, assure également le succès de l’entreprise.
Jukka-Pekka Saraste soigne le fini instrumental de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse et en déchaîne lors du Dies Iræ les terrifiants déferlements obtenant, au final, une vision de la Mort en habit d’apparat.
Jean-Félix Marquette
Publié le 10/06/2022 à 17:46, mis à jour le 10/06/2022 à 17:50.