Halle aux grains
> 15 février
Chants d'amour et de triomphe
Orchestre National du Capitole de Toulouse
Renaud Capuçon, violon
Pascal Rophé, direction
Grande star du violon, Renaud Capuçon nous charme ce soir encore avec deux pièces concertantes pour son instrument et orchestre. Ces deux pièces, emblématiques de la musique française, le Poème de Ernest Chausson et la Tzigane de Maurice Ravel se révèlent ici, sous cet archet vif-argent, dans leur plus éclatante dimension rhapsodique, alliant poésie et noblesse.
Pascal Rophé qui remplaçait Tugan Sokhiev au débotté, lui assure un accompagnement aussi luxuriant que coloré.
Pour notre plus grand plaisir, ce grand soliste, accompagné de la harpiste de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, Nabila Chajai, nous offre alors une Méditation de Thaïs de Jules Massenet au lyrisme langoureux et à la tendresse irradiante.
La symphonie en si bémol majeur du même Chausson, la seule de son œuvre, aux influences wagnériennes, retentît ce soir grâce à un orchestre galvanisé et une baguette sous tension, dans un maelström quasi orgiaque qui ne renie ni émotion ni respiration. La Musique française à son plus haut.
Jean-Félix Marquette
Pascal Rophé, direction
Grande star du violon, Renaud Capuçon nous charme ce soir encore avec deux pièces concertantes pour son instrument et orchestre. Ces deux pièces, emblématiques de la musique française, le Poème de Ernest Chausson et la Tzigane de Maurice Ravel se révèlent ici, sous cet archet vif-argent, dans leur plus éclatante dimension rhapsodique, alliant poésie et noblesse.
Pascal Rophé qui remplaçait Tugan Sokhiev au débotté, lui assure un accompagnement aussi luxuriant que coloré.
Pour notre plus grand plaisir, ce grand soliste, accompagné de la harpiste de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, Nabila Chajai, nous offre alors une Méditation de Thaïs de Jules Massenet au lyrisme langoureux et à la tendresse irradiante.
La symphonie en si bémol majeur du même Chausson, la seule de son œuvre, aux influences wagnériennes, retentît ce soir grâce à un orchestre galvanisé et une baguette sous tension, dans un maelström quasi orgiaque qui ne renie ni émotion ni respiration. La Musique française à son plus haut.
Jean-Félix Marquette
Publié le 25/02/2020 à 07:04, mis à jour le 12/01/2022 à 21:50.