Blue Hour
Weber – Brahms – Mendelssohn
Andreas Ottensamer, Yuja Wang, Berliner Philharmoniker, Mariss Jansons. CD Deutsche Grammophon.
Andreas Ottensamer est fils et frère de clarinettiste, clarinette solo du Philharmonique de Berlin et interprète magistral et virtuose, son dernier enregistrement est une absolue réussite.
Dédié à trois compositeurs du XIXe siècle: Weber, Brahms et Mendelssohn, il reprend des partitions du plus grand intérêt et des transcriptions d’Andreas Ottensamer lui-même.
Notre cd débute par un élégant Intermezzo de Brahms qui donne immédiatement à notre soliste l’occasion de développer un jeu tout aussi pénétré qu’élégant. De Mendelssohn, suivent les célèbres Lieder sans parole qui «devaient être chantés avec les doigts». C’est bien le cas ici, Andreas Ottensamer et sa complice Yuja Wang nous livrent des duos: brillants, délicieux, romantiques…
Le sommet de cet enregistrement reste à venir, ce sont deux pièces majeures de Carl Maria Von Weber. Le Grand Duo concertant pour clarinette et piano, remarquable de modernité et qui se termine par un final ébouriffant, ici complètement maîtrisé. Le Concerto n°1 qui doit beaucoup à Mozart, est donné dans une lecture magistrale de notre virtuose et du Philharmonique de Berlin placé sous la rigoureuse baguette de Mariss Jansons, tout ici est: luxe, fête et lumière.
Un enregistrement vraiment festif.
Marc Laborde
Andreas Ottensamer est fils et frère de clarinettiste, clarinette solo du Philharmonique de Berlin et interprète magistral et virtuose, son dernier enregistrement est une absolue réussite.
Dédié à trois compositeurs du XIXe siècle: Weber, Brahms et Mendelssohn, il reprend des partitions du plus grand intérêt et des transcriptions d’Andreas Ottensamer lui-même.
Notre cd débute par un élégant Intermezzo de Brahms qui donne immédiatement à notre soliste l’occasion de développer un jeu tout aussi pénétré qu’élégant. De Mendelssohn, suivent les célèbres Lieder sans parole qui «devaient être chantés avec les doigts». C’est bien le cas ici, Andreas Ottensamer et sa complice Yuja Wang nous livrent des duos: brillants, délicieux, romantiques…
Le sommet de cet enregistrement reste à venir, ce sont deux pièces majeures de Carl Maria Von Weber. Le Grand Duo concertant pour clarinette et piano, remarquable de modernité et qui se termine par un final ébouriffant, ici complètement maîtrisé. Le Concerto n°1 qui doit beaucoup à Mozart, est donné dans une lecture magistrale de notre virtuose et du Philharmonique de Berlin placé sous la rigoureuse baguette de Mariss Jansons, tout ici est: luxe, fête et lumière.
Un enregistrement vraiment festif.
Marc Laborde
Publié le 01/04/2019 à 06:00, mis à jour le 09/09/2021 à 19:45.
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