Église Saint-Exupère
> 13 mai
Cantate sans filet
Ensemble Baroque de Toulouse
Direction Michel Brun, Soprano Sara Brunel, Alto Lucile Rentz, Basse Nicolas Abella.
C’est dans la belle église Saint-Exupère du XVIIe siècle qu’un public nombreux, et enthousiaste, est venu assister à la nouvelle édition de Cantate sans filet. En effet, ce rendez-vous, proposé par l’Ensemble Baroque de Toulouse, promet à chaque fois d’être bien plus divertissant qu’un simple concert. L’unique répétition générale est en réalité le fil conducteur d’une remarquable analyse de l’œuvre, divulguée par Michel Brun. C’est la 33e cantate de Bach qui était à l’honneur cette fois. Au cours de l’exercice, successivement, chaque pupitre de l’orchestre et du chœur, prend brillamment place pour illustrer chaque propos, chaque remarque, chaque intention. Le public est assurément tombé sous le charme des talentueux solistes du Conservatoire de Toulouse, et Sara Brunel, soprano, a été particulièrement applaudie. Le résultat est un spectacle habilement construit qui nous conduit effectivement à l’écoute d’une cantate exaltante.
Sacha Lavrinenkof
Visiter le site web de
l’Ensemble Baroque de Toulouse.
C’est dans la belle église Saint-Exupère du XVIIe siècle qu’un public nombreux, et enthousiaste, est venu assister à la nouvelle édition de Cantate sans filet. En effet, ce rendez-vous, proposé par l’Ensemble Baroque de Toulouse, promet à chaque fois d’être bien plus divertissant qu’un simple concert. L’unique répétition générale est en réalité le fil conducteur d’une remarquable analyse de l’œuvre, divulguée par Michel Brun. C’est la 33e cantate de Bach qui était à l’honneur cette fois. Au cours de l’exercice, successivement, chaque pupitre de l’orchestre et du chœur, prend brillamment place pour illustrer chaque propos, chaque remarque, chaque intention. Le public est assurément tombé sous le charme des talentueux solistes du Conservatoire de Toulouse, et Sara Brunel, soprano, a été particulièrement applaudie. Le résultat est un spectacle habilement construit qui nous conduit effectivement à l’écoute d’une cantate exaltante.
Sacha Lavrinenkof
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Publié le 15/05/2018 à 08:28, mis à jour le 12/05/2019 à 21:34.
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