Aleksandra Kurzak, soprano
Falcon
CD Aparté
La soprano polonaise Aleksandra Kurzak rend hommage à Cornélie Falcon chanteuse emblématique du XIXe siècle qui donna son nom à une typologie vocale chez les sopranos.
Des vocalises impeccablement réalisées (extrait du Comte Ory de Rossini), un souffle jamais pris en défaut ( «Non mi dir» du Don Giovanni de Mozart). La mélodie de Berlioz (Le Jeune Pâtre) est une très belle découverte, où la chanteuse excelle (pureté des lignes mélodiques, nuances subtiles). Cependant les rôles plus lourds montrent les limites de la chanteuse (La Vestale de Spontini) avec une diction du français qui peine à convaincre. Un choix de répertoire plus judicieux eut permis à la chanteuse de mettre en valeur ses qualités de chant ciselé et tout en détails.
Michel Pertile
La soprano polonaise Aleksandra Kurzak rend hommage à Cornélie Falcon chanteuse emblématique du XIXe siècle qui donna son nom à une typologie vocale chez les sopranos.
Des vocalises impeccablement réalisées (extrait du Comte Ory de Rossini), un souffle jamais pris en défaut ( «Non mi dir» du Don Giovanni de Mozart). La mélodie de Berlioz (Le Jeune Pâtre) est une très belle découverte, où la chanteuse excelle (pureté des lignes mélodiques, nuances subtiles). Cependant les rôles plus lourds montrent les limites de la chanteuse (La Vestale de Spontini) avec une diction du français qui peine à convaincre. Un choix de répertoire plus judicieux eut permis à la chanteuse de mettre en valeur ses qualités de chant ciselé et tout en détails.
Michel Pertile
Publié le 12/05/2025 à 17:07.
Notre site utilise des cookies anonymes pour établir des statistiques de fréquentation.Rien de grave, cela nous permet de savoir quels sont les articles que nos lecteurs préfèrent afin de leur proposer des sujets qu'ils apprécient. Nous sommes tenus de vous en informer et de recueillir votre consentement. Pour prendre connaissance de notre politique de protection de la vie privée, consultez la page des mentions légales.