Camille Pépin
Les Eaux célestes
Orchestre national de Lyon. Ben Glassberg. CD NoMadMusic.
Cet album marque la rencontre de la jeune et talentueuse compositrice française, Camille Pépin et de l’Orchestre National de Lyon dirigé par Ben Glassberg.
À l’heure où Renaud Capuçon s’apprête à créér son concerto pour violon, sont dévoilées ici plusieurs de ses œuvres pour orchestre ou ensemble.
Disons tout de suite qu’elle possède un son unique signant les grands compositeurs.
Comme ses contemporains, Guillaume Connesson, Thierry Escaich ou Karol Beffa, pour citer les plus célèbres, elle n’a pas peur d’exposer une tonalité conquérante où science de l’orchestration et imaginaire poétique se combinent à merveille.
De la plus ancienne La source d’Yggdrasil (2018) à la plus récente Les Eaux célestes (2022), en passant par Laniakea (2019), Avant les clartés de l’aurore (2020) et Aux Confins de l’orage (2021), toutes ces pages manifestent le même élan créateur mêlant timbres inouïs, sonorités éthérées, rythmes effrénés dans une subtile filiation debussyste ou ravélienne.
Ben Glassberg à la tête du très sûr Orchestre national de Lyon en donne la meilleure traduction possible. À écouter des deux oreilles.
Jean-Félix Marquette
Cet album marque la rencontre de la jeune et talentueuse compositrice française, Camille Pépin et de l’Orchestre National de Lyon dirigé par Ben Glassberg.
À l’heure où Renaud Capuçon s’apprête à créér son concerto pour violon, sont dévoilées ici plusieurs de ses œuvres pour orchestre ou ensemble.
Disons tout de suite qu’elle possède un son unique signant les grands compositeurs.
Comme ses contemporains, Guillaume Connesson, Thierry Escaich ou Karol Beffa, pour citer les plus célèbres, elle n’a pas peur d’exposer une tonalité conquérante où science de l’orchestration et imaginaire poétique se combinent à merveille.
De la plus ancienne La source d’Yggdrasil (2018) à la plus récente Les Eaux célestes (2022), en passant par Laniakea (2019), Avant les clartés de l’aurore (2020) et Aux Confins de l’orage (2021), toutes ces pages manifestent le même élan créateur mêlant timbres inouïs, sonorités éthérées, rythmes effrénés dans une subtile filiation debussyste ou ravélienne.
Ben Glassberg à la tête du très sûr Orchestre national de Lyon en donne la meilleure traduction possible. À écouter des deux oreilles.
Jean-Félix Marquette
Publié le 03/07/2023 à 19:27.