Vent des royaumes
Les Passions
Vent des royaumes. Les Passions, direction de Jean-Marc Andrieu. CD Ligia 2018, 38’38’’.
Dirigés par Jean-Marc Andrieu, Gilone Gaubert-Jacques, violon, Pauline Lacambra, violoncelle, et Yasuko Uyama-Bouvard jouent en alternance avec les musiciens asiatiques Trois pièces extraites de la Deuxième Récréation de Musique, (Forlane, Menuet et Tambourin) de Jean-Marie Leclair.
33 de Gobi est interprété par Mandaakhai accompagné à la vièle mongole, tout comme le Yack Noir, une mélodie traditionnelle, un chant d’amour mongol. Enfin une pièce contemporaine chinoise, sous le nom bien occidental de Rhapsodie, fait découvrir des sonorités étranges, lancinantes. Trois improvisations, notamment de percussions, sous les doigts agiles de la Taïwanaise Yang Yi-Ping, emmènent l’auditeur dans un ailleurs d’accès pas toujours facile, mais pourtant fascinant.
Ce nouveau CD illustre la démarche initiée depuis plusieurs années par Jean-Marc Andrieu de faire se rencontrer les cultures et les musiciens. J’ai encore en mémoire une soirée à Fèz au cours de laquelle quelques instrumentistes des Passions ont joué avec des musiciens Soufi. C’était bouleversant.
L’expérience se poursuit, c’est intéressant, souvent convaincant même si la vérité oblige à dire qu’il faut parfois réécouter pour passer de la curiosité à une véritable émotion.
Danielle Anex-Cabanis
Dirigés par Jean-Marc Andrieu, Gilone Gaubert-Jacques, violon, Pauline Lacambra, violoncelle, et Yasuko Uyama-Bouvard jouent en alternance avec les musiciens asiatiques Trois pièces extraites de la Deuxième Récréation de Musique, (Forlane, Menuet et Tambourin) de Jean-Marie Leclair.
33 de Gobi est interprété par Mandaakhai accompagné à la vièle mongole, tout comme le Yack Noir, une mélodie traditionnelle, un chant d’amour mongol. Enfin une pièce contemporaine chinoise, sous le nom bien occidental de Rhapsodie, fait découvrir des sonorités étranges, lancinantes. Trois improvisations, notamment de percussions, sous les doigts agiles de la Taïwanaise Yang Yi-Ping, emmènent l’auditeur dans un ailleurs d’accès pas toujours facile, mais pourtant fascinant.
Ce nouveau CD illustre la démarche initiée depuis plusieurs années par Jean-Marc Andrieu de faire se rencontrer les cultures et les musiciens. J’ai encore en mémoire une soirée à Fèz au cours de laquelle quelques instrumentistes des Passions ont joué avec des musiciens Soufi. C’était bouleversant.
L’expérience se poursuit, c’est intéressant, souvent convaincant même si la vérité oblige à dire qu’il faut parfois réécouter pour passer de la curiosité à une véritable émotion.
Danielle Anex-Cabanis
Publié le 30/08/2018 à 15:05, mis à jour le 15/09/2019 à 19:50.